Quand je repense au lycée, à la fac, à l’édition, et même aux antres de la défonce - tous les mondes que j’ai fréquentés -, je me sentais exactement pareil : il y avait une série de règles, une sorte d’abécédaire, que tout le monde avait lu et compris, mais que moi je n’ai pas eu entre les mains.