Le dernier matin, le festival de l'amour, de la paix et de la musique était un chaos de boîtes de bière, de papiers gras, de biscuitrs et de macaronis, de boîtes de soupe et de mégots de cigarette. (...) Je n'étais pas nu, mais Azel, lui, l'était. (...) Tout le monde l'observait. Quelque chose l'effleura et il tressaillit. A ce moment précis, j'ai vu mon frère comme un bel objet. Une icône.