La grâce d’une femme, pour Ramirez, réside autant dans ses chaussures que dans la voiture qu’elle conduit. Elle peut avoir un corps de déesse grecque, si elle roule en quatre-quatre, la libido de l’avocat fond comme un sorbet dans un four à micro-ondes. Les femmes, il les aime en hauts talons, au volant d’un cabriolet, anglais de préférence. Ou éventuellement à pied, ou parfois à vélo, en jean et en baskets, pour le côté bobo bien dans sa peau qui mange bio. Mais surtout pas dans des chars d’assaut.