J'ai saisi qu'un conflit n'était pas la même chose qu'une agression.
Qu'un conflit était un moment électrique, un moment de crise du langage, visant moins à écraser l'autre qu'à échanger avec lui — et avec soi-même au passage.
Qu'un conflit laissait à l'autre la possibilité d'exister. Et aux deux protagonistes, celle de changer.