On notait une certaine arrogance dans sa façon de se mouvoir, mélange de suffisance, de snobisme et d’énergie diffuse, caractéristique des pires hommes de sa classe. Son visage était un masque de dédain et ses gestes nonchalants avaient quelque chose de suprêmement irritant. Ou était-ce simplement mon estomac qui criait famine ?