Hélène Cixous parle de la littérature comme un cri. C’est donc naturellement que, en commençant à écrire, j’ai décidé que ce serait à travers le personnage de Papageno que s’exprimerait la voix des vaincus, des oubliés de l’histoire, des faibles. Il s’agit de sa Flûte enchantée.