Finalement, Olav plante franchement ses yeux dans ceux d’Élisa. Un silence électrique, fervent, entre eux.
Il murmure, prononçant exagérément chaque syllabe :
— Il faut que je te dise, je suis fou. J’ai toujours su que ma tête était fêlée.
Tout jeune déjà. C’est dans la famille. Le sang slave, ou germanique, ou juif…