La voix de Laurent retentit derrière lui, légèrement plus crispée que d'habitude :
-Ça y est, tu m'as jeté en travers de ton cheval.
-Cela ne vous ressemble pas d'abandonner les rênes, ne pût s'empêcher de railler Damen.
-Tes épaules me cachent la route.
-Nous pourrions nous arranger autrement.
-C'est vrai : je devrais être à l'avant, et toi, tu devrais porter le cheval.