Ces degrés nous font songer à des différences assez analogues dans le règne végétal ; les membres les plus hautement développés du monde végétal passent directement dans la classe des mammifères. Un bon et doux animal ne devient pas un sauvage cruel et brutal, mais un doux primitif. Les règnes chevauchent l'un sur l'autre, et il se peut qu'un animal réellement bon soit un compagnon plus agréable que certains humains.