Souvent, je me promenais à vélo dans ces bois. C’étaient des moments magiques, cette forêt possédait une âme, je le ressentais. Parfois, j’arrivais à me fondre dans les paysages et découvrais toutes les merveilles de la nature. Cette beauté était inexplicable, tel un conte de fées. Chaque arbre, chaque fleur, chaque senteur cachait un secret, un lourd secret. Tout s’unifiait, ne faisait qu’un, un tel spectacle était splendide à admirer, surtout lors du crépuscule et des premières lueurs du soleil levant à l’horizon. La terre scintillait !