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Critiques de Camille-Laure Mari (10)
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L'éveil - Intégrale

Au départ, je trouvais sympa de proposer une histoires à épisodes permettant d'attendre la fin du monde Et là, j'ai lu ce ... truc .. et j'ai cru que la fin du monde était arrivé tellement je ne comprenais rien.

Le récit est relaté à la première personne du singulier et j'avais l'impression que l'on me relatait une succession de faits du genre "je me lève. Je vais voir Vanessa. Je prends donc un taxi. Je paye le taxi. J'arrive chez Vanessa..."

Passons maintenant à l'intrigue... alors là, c'est sans queue ni tête... A la fin du livre, je ne savais toujours pas pourquoi les éveillés étaient les éveillés... pourquoi avant on les avaient endormis... les informations données sont tellement vagues que cela rend incompréhensible le récit. La fin est également rocambolesque. Je pense que l'auteure pensait réellement que le fin du monde allait arrivé donc elle ne s'est pas trop triturée les neurones

Bref, livre sans grand intérêt.
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L'éveil, tome 1 : 1er décembre

Une superbe découverte autant pour le livre, que le concept du livre, que l'autrice!



J'aime beaucoup le concept, c'est facile et rapide à lire tout en restant addictif. C'est aussi très bien écrit. Je ne sais pas où l'histoire va mener mais j'ai hâte de lire la suite !:)

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L'éveil - Intégrale

Mitigée...



J'avais été emballée par la lecture des deux premiers chapitres (gratuits) et je voulais connaitre la suite. Hélas, cette nouvelle n'a pas été à la hauteur de mes espérance.



Passé les premiers chapitres, qui mettent du suspens et des enjeux en perspective, le récit perds son intérêt au fil des chapitres. L'histoire perd son rythme haletant et son suspens rapidement. Le milieu du récit est fait de remplissage sans intérêt, avec des passages taxi, manger, dormir...



Puis, je suis passé à côté de la fin, notamment parce que les jours censés défilés ne se ressentent plus du tout dans le récit, l'auteur n'arrive plus a rendre compte du temps qui s'écoule et tente dans le dernier chapitre de sauver les meubles en nous disant que plusieurs jours ce sont écoulés, sans qu'on y puisse réellement y croire...



A cela s'ajoute trop de questions en suspens, un récit qui s’interrompt de manière abrupte, sans que rien n'est réellement été réglé, ce qui frustre énormément.



En bref, une lecture qui peine à convaincre,bien que les idées soient présentes... Dommages.



Bonne lecture à tous.



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L'éveil, tome 4 : 4 décembre

Nouvelles réponses, nouvelles questions, à voir par la suite !



Bonne lecture à tous.
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L'éveil - Intégrale

L'Apocalypse, la fin du monde ... ce 21 décembre 2012, on en a énormément parlé. On en a fait des films, des reportages. Ici, on se retrouve un peu dans un nouveau genre: chaque jour (du jour 0 au 21 décembre) est repris sous une nouvelle. On va suivre donc Martin Hurston de son "éveil" au dernier jour ... le 21 décembre.



J'ai bien aimé l'évolution, les explications depuis l'éveil de Martin, il va chercher à comprendre, pourquoi ses souvenirs et ceux des autres ont été effacés. Pourquoi tout cela est-il arrivé. Comment une connexion cérébrale entre les Eveillés a pu se faire.



Une terrible manipulation mentale, mystérieuse! La fin m'a néanmoins déçue car nous n'avons pas d'explication sur ce qui va se dérouler à l'avenir pour la population et les Eveillés.
Lien : http://chezcookies.blogspot...
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L'éveil - Intégrale

L’Éveil (2012)

Camille-Laure MARI

Martin, médecin et chercheur en psychologie, se réveille d’un coma. De deux semaines, lui a-t-on dit. Alors qu’il émerge, non seulement sa mémoire est sous le coup d’un réveil difficile et donc très brumeux, mais aussi son environnement s’est modifié. Il est bousculé, perdu, à côté de ses pompes. Plus des détails lui reviennent, plus ses habitudes l’intriguent et plus son inquiétude augmente. Beaucoup trop de faits semblent irréels. Il en va de même pour ses amis proches. Martin angoisse de manière exponentielle. Au fur et à mesure que les explications tombent, il improvise dans une atmosphère de chaos qui le dépasse. Ses sensations, ses sentiments se bousculent au fil de son réveil jusqu’à une apocalypse complète des sens. Un changement nouveau s’opère, il en devient un acteur incontournable.

Le monde dans lequel il ouvre les yeux subit des changements climatiques démesurés. Quelle en est l’origine ? L’homme a-t-il un rôle à jouer dans ce bouleversement ? L’être humain a subi une altération, peut-elle servir à quelque chose ?

Une dystopie qui penche vers l’utopie ou l’inverse. Le lecteur rencontre le début de la fin. Le début d’un Nouveau Monde qu’il aura le loisir d’imaginer. Une fin préférable, loin du mythique cataclysme tant éructé et promis au jour du 21/12/2012. C’est l’histoire d’un rappel de la notion d’apocalypse. Ce n’est pas la fin du monde, mais celle d’un monde, d’une ère, l’aube d’un nouveau commencement.

Dans ce texte-ci, une approche parapsychologique légère et astucieuse permet de rentrer dans une ambiance partagée ou la frontière entre une démocratie et une dictature est très fine (il y a peu de différence avec notre époque, notre société bien réelle et actuelle où, j’assume mon propos, elle est proche de la dictature autorisée). Une anticipation, une histoire brève qui propose un point de vue simple, sans grande extrapolation, l’insistance sur un changement presque plausible. Il y a un petit ton, une cuillérée du roman « 1985 » de G Orwell (pour le côté dictatorial). Et aussi en plus imagé, il y transpire une atmosphère du peintre Magritte avec son tableau « Golconde » (une pluie d’hommes vêtus de la même manière). En somme, tout le monde se ressemble ou devrait se ressembler. Les éveillés, les « Anonymes » passent pour les férus de théorie du complot, les révolutionnaires. Je n'oublie pas qu’il existe bien des groupements trop éveillés, voire illuminés, et d'autres, peut-être pas assez éclairés, de vrais moutons…

Au départ, je trouvais le style trop haché sur tout. Des phrases très courtes pour tout. Cela rendait l’ambiance, le décor, les émotions du personnage vide, plat. Puis le dessin, le destin, les couleurs grises et sombres se formèrent, apparurent. L’histoire est le point de vue du personnage et de ce qu’il ressent pendant 21 jours après son coma. Les mots naissent en même temps que son désarroi et sa compréhension des choses. Le tout proportionnel à l'éveil progressif de ses sens et de l'évolution active de la situation dans laquelle il se trouve. C’est progressif tel un bébé qui commence à parler, du balbutiement au discours qui ne s'arrête plus, mais qui reste agréable à entendre. Un écrit intelligent et qui se lit très rapidement.





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L'éveil - Intégrale

Je l'ai lu en numérique. C'est une série en 21 épisodes et chaque épisode est relativement court. Une quinzaine de pages à chaque fois.

Vu le mode de diffusion en série, je m'attendais comme c'est souvent le cas, à des fins d'épisode qui tiennent en haleine, mais là ce n'est pas souvent le cas, pour ne pas dire jamais.

Cela se lit rapidement et s'oublie aussi vite. Il n'y a rien de vraiment intéressant à retenir de cette lecture.
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L'éveil, tome 3 : 3 décembre

Un cran en dessous.



Le suspens retombe dans ce tome, qui nous fournit des réponses à certaines questions, mais en soulève aussi énormément !



Bonne lecture à tous.
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L'éveil, tome 2 : 2 décembre

Une réussite !



Second opus et nouvel exploit : créer l'addiction, tout en ébauchant des réponses et des intrigues, le tout, encore une fois, en seulement 10 pages...



Et cette fin... Mais quelle suspens !!!





Bonne lecture à tous.
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L'éveil, tome 1 : 1er décembre

Une belle découverte !!!



Ce premier opus est terriblement bien mené. Nous suivons Martin, qui vient de se réveillé après avoir passé 15 jours dans le coma.



Rapidement, tout comme Martin, le lecteur se pose des questions et éprouve des doutes quant à ce monde qui ne ressemble plus tout a fait à celui que Martin à connu avant son coma.



Franchement j'ai été enthousiasmé par l'écriture efficace de l'auteur, qui parvient en 10 pages, à poser son personnage principal et lancer l'intrigue ! C'est fort, et rondement mené !



Chapeau !



Bonne lecture à tous.



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