Selon ses vœux on avait déposé dans son cercueil un médaillon contenant des photographies de ses parents et une mèche de cheveux de son ami et, sur la simple dalle funéraire, entourée d'une chaîne, on grava un nom : Bobette Arconati et un vers de Villon : Deux étions, n'avions qu'un cœur.
Ainsi s'en fut, dans une pensée d'amour, celle qu'on avait surnommée : l'ange de l'athéisme.