Chacun porte son fardeau. Et bien que je ne sois pas souvent aussi calme que j’en donne l’impression, il ne me serait pas plus utile de me plaindre de l’humidité de la mer que de ma cécité. Ce sont des choses auxquelles on ne peut rien changer. Et puis, il me reste beaucoup. J’entends, je sens, j’ai le goût et le toucher.