"Qui augmente son savoir, augmente sa souffrance." (Eccl. 1.18)
Et malgré cela, il vaut la peine de savoir, et la souffrance elle-même y conduit aussi.
Quelqu'un dit au rabbi de Kotsk :-Ne vaudrait il pas mieux que je sache moins de choses, puisque "Qui augmente son savoir, augmente sa souffrance"?
Il lui répondit : au contraire, il est bon de savoir beaucoup de choses, même si on souffre.
Il vaut mieux continuer d'augmenter beaucoup son savoir plutôt que de souffrir pour un petit savoir.
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