Pendant que je prends mon petit déjeuner, maman touille son thé d'un air grognon-mal-reveillé. Je me dis que j'ai bien fait de suivre le chat Patamoi cette nuit. Et que si tout le monde suivait son Patamoi la nuit, les gens seraient de meilleure humeur le matin. La terre s'en porterait sûrement mieux.