Les pierres, toujours les pierres, vivantes de toutes ces vies qu’elles ont vu défiler, ces pierres que mes mains réchauffaient – ou peut être était ce le contraire –, que je sentais palpiter et frémir sous mes paumes
et qui m’émouvaient jusqu’aux larmes.
Combien d’amoureux ont elles vus passer? Combien de peines ont elles soulagées?
Combien de vœux ont elles exaucés? Combien de cœurs ont elles capturés?