Mais le monsieur à la face rubiconde n'en continuait pas moins de prôner le bon vieux temps, le magnifique vieux temps, le merveilleux vieux temps. Quoiqu'on pût dire, il ne cessait de tourner en rond dans la même formule établie une fois pour toutes, comme un pauvre écureuil tourne dans sa cage rotative, du mécanisme trompeur de laquelle il a sans doute une perception aussi nette que celle qu'avait de son cher millénium défunt le monsieur rubicond.