Il arrivait que, dans les fermes isolées, on se tût brusquement pour écouter l’écho réconfortant des sabots du cheval d’Ed Olinda. On éprouvait un sentiment de sécurité et plus d’une femme que la solitude rendait perpétuellement anxieuse collait son nez au carreau pour distinguer, à travers les ombres du crépuscule, la silhouette rassurante du cavalier.