Deux manières de vivre. D’un côté, l’Italie de toujours, besogneuse et paradoxalement insouciante, malheureuse et sans cesse pourtant prête à rire, à crier ou à chanter. De l’autre, l’Italie fasciste en bottes et en baudriers, voulant réimposer le goût des armes à un peuple dont la sagesse a compris que la guerre s’affirmait la stupidité majeure de l’espèce humaine. Son cœur penchait pour la première et c’est la raison pour laquelle il n’intervenait pas dans la querelle.