Rimbaud ne vit que dans l' ici et maintenant. La patrie n'a mené à rien qui vaille :
La défaite sans avenir.
Il a assisté à l'effondrement de 1870. Son commentaire le 25 août :
C'est effrayant, les épiciers retraités qui revêtent l'uniforme ! C'est épatant comme ça a du chien, les notaires, les vitriers, les percepteurs, les menuisiers, et tous les ventres, qui, chassepot au cœur, font du patrouillotisme aux portes de Mézières ; ma patrie se lève !… moi j'aime mieux la voir assise ; ne remuez pas les bottes ! C'est mon principe.