M. de Voltaire, passant par Soissons, reçut la visite des députés de l'Académie de Soissons, qui disaient que cette académie était la fille aînée de l'Académie française. « Oui, Messieurs, répondit-il, la fille aînée, fille sage, fille honnête, qui n'a jamais fait parler d'elle. »