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- Viens dont accueillir ton frère.
- Il a dilapidé tout son héritage pour se payer des putains. Il se retrouve sans le sou, revient en rampant, et toi, tu l'accueilles avec un festin. Je suis resté ici, je me suis tué à la tâche, j'ai fait tout ce que tu m'as demandé. Je t'ai obéi. Pourtant, tu n'as jamais rien fait de tel pour moi. Pourquoi c'est le fils chéri ?
En, désobéissant, ton frère montre qu'il est vivant. Toi qui te soumets avec rancœur, tu es mort.