Il était interdit de pénétrer dans une autre cellule que la sienne, et tout contact physique avec une autre détenue était proscrit. Au début, je me fichais bien d'une telle mesure, je n'aurais touché quelqu'un d'autre pour rien au monde. Il m'a fallu des années pour comprendre à quel point l'absence de contact physique est insupportable. (p. 30-31)