Je dus me mordre la lèvre pour retenir mes larmes. Je n’avais pas envie de sangloter dans ce souterrain, de pleurer pour un garçon, de me sentir mal parce que j’avais réfléchi au lieu de gober tout cru ce qu’on me disait. Oui, c’était effrayant de renoncer à des idées toutes faites pour penser par soi-même, mais ce n’était-ce pas là l’essence même de la vie d’Adepte ?