Citation de Revesetimagines
Le souffle court, je lançai un regard à Ethan, une mèche de cheveux me barrant le visage, mon corsage retenu par une seule bretelle, ma jupe fendue jusqu’à la cuisse et le sabre de mon ennemi dans les mains.
Ethan avait subtilisé le katana de son adversaire et en pointait la lame sur sa gorge, debout au-dessus de lui. Ses cheveux dénoués entouraient son visage de prince d’un halo doré, et son costume paraissait toujours aussi impeccable à l’exception d’une estafilade au bras gauche. Je me détendis aussitôt ; il était sain et sauf.
Lorsqu’il avisa mon corps largement dénudé, ses yeux s’enflammèrent… du moins avant qu’il se rende compte du triste état dans lequel se trouvait ma tenue.
- Tu as encore détruit une robe.
- En réalité, c’est ce crétin qui l’a détruite.
J’écopai d’un sourcil arqué mais, comme le désir n’avait pas quitté son regard, j’en déduisis qu’il n’était pas si énervé que ça. Après tout, c’était sa faute ; c’était lui qui me forçait à porter des robes de luxe.
Ethan avait subtilisé le katana de son adversaire et en pointait la lame sur sa gorge, debout au-dessus de lui. Ses cheveux dénoués entouraient son visage de prince d’un halo doré, et son costume paraissait toujours aussi impeccable à l’exception d’une estafilade au bras gauche. Je me détendis aussitôt ; il était sain et sauf.
Lorsqu’il avisa mon corps largement dénudé, ses yeux s’enflammèrent… du moins avant qu’il se rende compte du triste état dans lequel se trouvait ma tenue.
- Tu as encore détruit une robe.
- En réalité, c’est ce crétin qui l’a détruite.
J’écopai d’un sourcil arqué mais, comme le désir n’avait pas quitté son regard, j’en déduisis qu’il n’était pas si énervé que ça. Après tout, c’était sa faute ; c’était lui qui me forçait à porter des robes de luxe.