Citations de Chris Colfer (313)
Un jour, tu seras assez grand pour recommencer à lire des contes de fées.
Mira,
Seul l' espoir de te retrouver me maintient en vie. Chaque jour je le passe à chercher un moyen de vivre avec toi. Je vis pour toi. Chaque instant, chaque minute que compte ma vie est un instant passé à te chérir.
Merhsante.
- On utilise la plus puissante force de notre monde pour prévoir les lieux de manifestations magiques, dit Cornelia. La science !
- Mais vivre sans coeur revient à vivre sans ressentir quoi que ce soit. Cela prévient peut-être du deuil, de la solitude, du désarroi, de l'envie, de la peur...mais aussi de la joie, du rire, de l'excitation, de l'amour. Et quand on vit sans amour, on n'est finalement qu'un objet.
Ils ont toujours cru que ne rien faire valait mieux que faire quelque chose qui puisse être dangereux ou leur donner une mauvaise image. C'est toujours comme ça, en politique.
Vous avez donné à Boucle d'or sa première épée ? [...] C'est comme offrir à Shakespeare son premier stylo !
Si tu passes toute ta vie à craindre d'être blessée, tu ne vivras jamais. Il ne faut pas chercher à te protéger de toutes les mauvaises choses, sinon il ne t'arrivera jamais rien de bon non plus.
- Avoir quelque chose qui mérite d'être raconté, et la passion nécessaire à le raconter, font un bon écrivain. Je ne peux pas vous dire combien de fois j'ai lu des romans ou des articles de presse qui utilisent des mots compliqués et des jeux de mots savants pour cacher le fait qu'ils n’avaient strictement rien à raconter. On doit savourer un bon récit ; parfois la simplicité mène loin.
- La leçon que je tire de tout ça est que les méchants sont souvent des personnes que les circonstances ont rendues mauvaises.
Tous ces royaumes forment l'Assemblée de ceux qui vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.
- Ah mais c'est ce qu'il y a de plus mystérieux avec la magie, dit son grand-père avec un éclat dans les yeux. On ne sait jamais si elle va se révéler à nous. C'est pourquoi il est important de garder l'esprit ouvert. il ne faut pas rater sa chance.
Un enfant qui ne croit pas à la magie est comme un tableau sans couleur.
- C'est vrai. Bon, tu te souviens de la partie où on nous a tirés dessus en plein vol ? Tu te souviens de cette sensation au fond de ton estomac quand le vaisseau a piqué vers la terre à des centaines de kilomètres à l'heure, nous faisant plonger vers une mort certaine ? C'est ça, la paternité.
- Charmant, déglutit Grenouille.
- D'accord. Je trouverai ce satané Saint Graal, mais c'est bien pour te faire plaisir. Tu penses qu'il me faudra combien de temps ?
- Oh, il te faudra des années, s'amusa Alex. Peut-être même des décennies. selon la légende, tu dédies ta vie à cette quête.
Arthur se pencha contre Alex et l'embrassa passionnément sur la bouche.
- J le ferai en deux mois.
- "Vivre heureux" n'est pas une fin en soi, ce n'est pas un paradis, et ce n'est pas un phénomène grâce auquel tous nos rêves deviennent réalité. "Vivre heureux", c'est trouver le bonheur en soi et le protéger des tempêtes.
- Eh bien, la bonne nouvelle, c'est qu'il n'est jamais trop tard pour réécrire sa propre histoire. Si tu sens que quelque chose ne va pas, il y a toujours une occasion d'arranger les choses, peu importe qui est coupable. Mais tu ne dois jamais te sentir responsable des choix des autres. C'est un trop gros fardeau à porter pour qui que ce soit.
- Mais ce n'était pas la faute de la jeune femme si elle pensait ainsi. Vois-tu, personne ne lui avait jamais dit que c'était banal de commettre des erreurs. Personne ne lui avait dit qu'avoir besoin d'aide n'était pas grave. Personne ne lui avait dit que s'irriter, s'énerver ou s'émouvoir de temps en temps était normal. Tout le monde autour d'elle prenait son perfectionnisme pour acquis et ne réalisait pas comme c'était suffocant pour elle. Et parce que personne n'avait permis à la jeune femme d'être HUMAINE, elle vivait comme un échec de pouvoir l'être.
- [...] J'ai fouillé pratiquement partout mais tout est désert. J'en viens à me demander si ce ne sont pas les soldes quelque part.
- C'est bien vrai, avait acquiescé la Mère l'Oie. Comme je l'ai toujours dit : la tyrannie, c'est le carton d'invitation de la révolution.
- Quel conseil donneriez-vous aux écrivains en herbe ?
C'était là une question très importante pour l'auteur et il se tut un moment pour réfléchir à la juste réponse.
- Toujours se laisser inspirer et influencer par le monde, mais ne jamais le laisser nous décourager. En réalité, plus le monde vous décourage, plus il a besoin de vous.