_ Longtemps je me suis préoccupé du mal. J'ai voulu savoir à quoi ça ressemblait. Ca ne ressemble à rien, c'est commun, ordinaire, c'est presque comme tout le monde. C'est parfois un ami, parfois un ennemi, il n'a que le visage qu'on lui prête, mais il n'a pas de pitié. C'est sa différence avec le bien : le mal ne connaît pas la pitié. (p.84)