Des chercheurs de l’université de Tokyo avaient établi que les félins reconnaissaient parfaitement la voix de leurs proches et comprenaient leurs ordres, mais n’obéissaient pas pour autant ; indifférents à ces autorités extérieures, ils ne se conformaient qu’à leurs propres intentions.
Quant aux chiens, selon des biologistes britanniques, ils possédaient, dans leur cerveau, une zone réservée à la parole ; leurs aboiements étaient donc un langage digne d’estime.