Peut-être que toutes les mères sont à moitié folles. Peut-être que ça fait partie du marché lorsque nous acceptons que notre corps en héberge un autre, lorsque nous nous allongeons, jambes écartées et entrailles nouées par la douleur, que nous poussons encore et encore et encore jusqu'à être incapables de pousser plus, lorsque nous passons des nuits blanches dans un rocking chair ou un fauteuil à avoir des sueurs froides à chaque variation de température, de poids ou d'appétit d'une minuscule créature.