Le rythme redonne ainsi au corps une force dont le prive le pouvoir en lui imposant une chair qui le lie à une transcendance de l'être ou de l'autre. Cette force, c'est la viande. Alors que la chair est toujours métaphorique - la chair participe d'une transcendance qui relève soit de la conscience (phénoménologie), soit de Dieu (métaphysique) -, la viande, elle, est métamorphique. la viande tend vers l'animalité. L'animalité n'est pas l'opposé symétrique de Dieu (...), mais (...) le devenir possible du corps-viande.