Systématiquement donc, pour le bien du patient et pour le maintien d’une relation de qualité avec lui, nous devons réfléchir à chacune de nos actions et à ses éventuelles conséquences.
– Dans toutes les situations, aurions-nous pu soigner différemment ?
– Aurions-nous pu proposer de l’apaisement ?
– Aurions-nous pu éviter l’agitation, la violence, la contrainte ?