J’avais le visage parfait d’une poupée ancienne. Un corps sublime, aux courbes rondes et harmonieuses. J’inspirais désir et fascination. Maintenant, je ne suis plus qu’une femme parmi d’autres. On me qualifie de jolie ou d’attirante, mais rien à voir avec ce que j’étais. À l’exception d’une chose : mes yeux. Ils ont toujours cette teinte ambrée indescriptible, cette intensité qui ensorcelle.