« Die Hütte » , prononça mon père :
Les murs tenaient par des bardeaux en bois, il en manquait quelques - uns, et les trous noirs qui se creusaient à la place dessinaient un sourire édenté ...
La porte oscillait dans le vide, ne tenant plus que par un gond, et l’unique fenêtre voilée et cassée...
Plus on s’en approchait , plus la cabane : « Die Hütte » semblait tomber en ruines....Le bois était spongieux et la puanteur me frappa : _ une odeur animale_ , moisie, écoeurante, le panier mouillé d’un chien.... »