Vivre à Giverny, c'est aussi bien lire Paul Valéry, enlever une tête d'iris fané, recevoir le monde entier ou au moins un tiers, et après avoir bavardé avec Delphine qui vient de livrer un linge empesé, filer à Londres bougonner devant le Parlement impossible à peindre et fumer jusqu'aux derniers jours cette satanée cigarette caporal rose.