« Le visage du jeune homme s’illumine, il ronronne comme un matou gavé de caresses.
Marguerite devine que ses parents doivent être avares en compliments , alors elle en rajoute, l’encourage à parler.
Yannick raconte la vie au village , les haines cuites et recuites héritées de l’Occupation, voire d’avant , la façon dont on s’évite jusque dans le choix de la crêperie , du coiffeur, de l’heure à laquelle on va à l’épicerie . »