L'oppression ressentie durant mon séjour dans cet appartement n'était ni imaginaire ni malencontreuse : j'en mourais, j'en mouru bel et bien pendant cet été londonien si pesant, si solitaire, et finalement si triste ; simplement, c'était une mort comme dans la religion tibétaine, où au tarot, une mort impliquant une renaissance, une obscurité nécessaire au-delà de laquelle brille la lumière.