...mais il me sauva la vie, il me soigna et il me dit que, quoi qu'il arrive, même si on nous recouvrait de merde jusqu'au cou, même si on nous humiliait à mort, même si nous étions les derniers des esclaves, ma vie m'appartenait. Ce n'était pas une bonne vie, ni une vie décente, ni une vie digne d'être vécue, mais c'était la mienne, personne ne pouvait me la prendre.