Claude K. Dubois

Quand l’heure du dodo arrive, Taupinou a droit à une histoire et un câlin, comme chaque soir. Puis c’est le dernier bisou et Maman Taupe le laisse seul dans son lit. Mais Taupinou aimerait bien rester blotti contre sa maman. Surtout que derrière la fenêtre la nuit est là. Et ça, Taupinou n’aime pas. Alors il se relève et demande à sa maman s’il peut dormir avec elle…



Il se dégage tellement de tendresse et d’amour de cette petite histoire qu’il est impossible de ne pas fondre pour Taupinou et sa maman. Le dessin de Claude K. Dubois est à la fois simple et très expressif. En quelques traits il parvient à croquer une ambiance où le calme et la sérénité prédominent. On sent l’atmosphère bienveillante et chaleureuse de la maisonnée, le moelleux de la couette sous laquelle Taupinou finit par s’endormir et on se dit que décidément, il n’y a rien de mieux que l’odeur des mamans pour apaiser les enfants.



Un album doudou qui fait du bien et que j’ai hâte de faire découvrir à ma petite dernière quand elle aura l’âge d’en profiter. Une histoire parfaite à lire lorsque l’heure du dodo arrivera à grands pas.
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Gros coup de coeur : Je fonds devant l'immense tendresse que dégage "Ça sent bon la maman", que ça soit dans les mots doux, choisis par Emile Jadoul, ou les illustrations délicates de Claude K. Dubois.
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J'ai découvert cet album lors d'une occasion spéciale. En remplacement dans une bibliothèque, je participais à une sélection d'ouvrages pour un prix local. Je n'étais là qu'en tant que spectatrice, moi qui ne lisais pas vraiment d'albums, j'ai pris cette réunion comme un bon moyen de m'y mettre. Malgré une certaine réserve, j'ai été surprise de faire d'excellentes découvertes et depuis j'essaie de lire des albums le plus souvent possible. J'ai donc fait la connaissance de cette petite taupe à ce moment et j'ai depuis acheté l'album pour l'avoir à mes côtés, parce que cette petite taupe ne quittait pas bien mes pensées. J'ai carrément eu le coup de foudre pour cet ouvrage.

Pour l'histoire, on ne peut pas faire plus simple. La maman de Taupinou lui lit tous les soirs une histoire. Vient ensuite le moment du câlin, avant un bisou donné entre ses oreilles amenant à l'extinction des feux. Dans le noir, Taupinou n'est pas bien tranquille. Il va donc aller retrouver sa maman et le confort rassurant de ses bras. Mais la maman n'est pas d'accord, il faut qu'il dorme. Pour rassurer son petit, Maman Taupe va trouver un moyen de le réconforter. Taupinou peut alors dormir tranquillement sur ses deux oreilles.

C'est au moment où la Maman Taupe donne un objet à Taupinou que j'ai eu le déclic pour l'album. Quelque chose enfoui en moi est remonté, j'ai eu les larmes aux yeux. Une seule phrase m'a profondément touchée. C'est le mot qui décrit parfaitement l'album, touchant. Aussi simple que soit l'histoire, elle est touchante et l'enrobage lui amène la douceur qu'il faut pour faire craquer encore plus. Les dessins aux traits épais dégagent beaucoup de douceur, les couleurs utilisées accentuent encore plus cet effet. Cet album, c'est un petit bonbon, une petite friandise à déguster avec délicatesse.
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l y a des albums comme ça, on les voit de loin, au détour d'un rayon de librairie, et on sait que ce sera un coup de coeur.



Ici, il y a d'abord les dessins de Claude K. Dubois, dont j'adore la douceur. Puis l'histoire de Emile Jadoul, valeur sûre au rayon tendresse pour les petits.



Taupinou n'aime pas la nuit, le noir, et les bruits étranges qu'il entend, tout seul dans son lit. Il voudrait bien rester près de maman, pour se rassurer ...





(suite avec PLEIN de photos, sur le blog)
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Petit rituel du soir : avant de se couchee, Taupinou se blottit contre sa Maman Taupe pendant qu'elle lui lit une histoire. Une fois la dernière page tournée, elle lui fait un gros câlin et un gros bisou. C'est tout doux, mais une fois maman partie, Taupinou appréhende la nuit...



C'est vraiment trop mignon cette petite histoire ! Difficile de ne pas se laisser attendrir par le petit Taupinou.



Un bel album de l'école des loisirs.

Le titre est tellement bien choisi. C'est l'heure du coucher et Taupinou a du mal à accepter de devoir se séparer de sa maman. La nuit, c'est effrayant et maman Taupe apporte tellement de sécurité qu'il est difficile pour Taupinou de la laisser partir. Alors, pour l'aider à "affronter" la nuit & à faire de jolis rêves, maman Taupe trouve le meilleur des subterfuges...

Un joli petit livre à partager à la nuit tombée pour rendre courageux nos petits bouts.

Adorablissime !
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Un album très poétique pour les enfants qui ont du mal s'endormir sans maman. Un petit conseil (qui marche ou pas lol) afin de créer une petite bulle de douceur pour éloigner les inquiétudes du soir.

Un album que nous avons pris beaucoup de plaisir à lire ensembles.

Marie-Paule est une petite fille qui déambule sur une jolie plage désertique. Elle porte le prénom que son papa lui a choisi, celui de sa grand-mère paternelle qui est morte juste avant sa naissance. Elle nous parle de son poupon, Martin, et de sa meilleure amie aussi, car du plus loin qu'elle s'en souvienne, Cassandre est son amie...

Mon avis : C’est en lisant un petit livret présentant l'auteur et illustrateur Rascal, livret qui m’a été envoyé gracieusement par l’École des Loisirs, que j’ai découvert cette petite merveille d’album. Quand on lui pose la question : « Quel est, de vos livres, votre préféré ? », son auteur le cite en seconde position, juste après « Eva ou le pays des fleurs », et en explique les raisons :

« C’est l’histoire que j’ai écrite le plus rapidement. D’un seul jet. Comme crachée. C’est également la plus intime. Et même si c’est une petite fille qui nous raconte ses histoires, c’est elle qui me ressemble le plus dans ce que je suis et étais. ». Bien sûr, la double page issue de l’album et qui nous offre un aperçu de la magie des illustrations que l’on doit à Claude K. Dubois, aurait très largement suffit à me pousser à demander ce titre à la Bibliothèque Départementale de Prêt des Bouches du Rhône… mais ma motivation était autre, elle était un peu comme un coup au cœur. D’ici quelques jours, un bébé va naître, ma petite fille, et mes enfants m’ont confié leur envie de l’appeler Cassandre… Et bien ce n’est pas Cassandre, peut-être un peu trop enfant gâtée à mon goût, qui m’a faite fondre mais bel et bien la toute jeune narratrice, Marie-Paule. Un texte très simple à comprendre mais si riche d’émotions et de sentiments, de vie tout simplement, un texte si poétique aussi. Marie-Paule est seule sur la plage, tout juste accompagnée de son poupon Martin ou de son chien… un instant de solitude voulu sans aucun doute, à aucun moment il ne nous semble qu’elle s’ennuie, et c’est plus à elle-même qu’elle parle de sa famille, de son amitié pour Cassandre et de son affection pour Martin, qu’à nous, lecteurs. Les illustrations sont des aquarelles aux teintes très pales. Elles renforcent et enrichissent le récit : on a vraiment l’impression d’être sur cette plage, sous un ciel automnal, et de suivre des yeux la fillette en mouvement. On distingue très peu les traits de son visage, l’émotion nait plus de ses attitudes et de sa façon de se fondre dans le paysage... si bien que s’il m’était donné d’aller me promener aujourd’hui sur une plage de la mer du Nord, mon regard ne pourrait s’empêcher de la chercher au loin, dans sa petite robe rouge… Quand à savoir si mon bébichon se nommera Cassandre, l’histoire ne le dit pas… mais une chose est sûre, dans quelques années, très bientôt en fait, le temps passe si vite, je lui offrirai ce petit bijou d’amour et de douceur.

Public : à partir de quatre – cinq ans en lecture accompagnée mais sans autre limite, pour le plaisir des yeux !

J'ai lus ce livre quand j'étais petite fille, c'était mon livre de chevet que j'ai toujours d'ailleur.

On reste dans les histoires d'amitié avec ce superbe album que les éditions québécoises D'eux viennent de republier.



Pour Marie-Paule, Cassandre est sa meilleure amie. Même si celle-ci a tout ce qu'elle veut, de jolis vêtements, des patins à roulettes, une belle poupée et toute sa garde-robe et surtout un gros ours en peluche face à qui, Martin, le petit ours que Marie-Paule a reçu pour Noël, fait piètre figure.



Mais la fillette s'en contente et Martin devient très vite son confident et un excellent compagnon de jeux. Au point que Cassandre l'envie et lui réclame de lui prêter Martin avant de lui demander de le lui donner en échange de tous ses biens!



Une exigence et un choix face auxquels Marie-Paule ne sait pas trop comment réagir. Qu'est-ce qui va dominer dans sa décision? Son affection pour Martin ou son amitié pour Cassandre?



Un très bel album sur l'amitié au féminin, signé Rascal pour le texte sensible et délicat et Claude K. Dubois pour ses illustrations tout en douceur. Cet album, c'est la réflexion que Marie-Paule engage avec elle-même. Son envie face à tout ce que possède Cassandre. Sa légère déception envers son ours Martin. Ses premiers jeux avec lui, ses premières confidences. L'intérêt de Cassandre pour ce lien qu'elle ne comprend pas vraiment et que Marie-Paule ne sait pas lui expliquer. La jalousie évidente de la fillette que Marie-Paule essaie de gérer de son mieux. Et puis ce choix qu'elle doit effectuer. Se séparer de son ours aimé pour toutes ces choses que Cassandre est prête à lui donner? Le garder? Le partager? Choisir, c'est grandir et assumer ses décisions. C'est un peu la leçon que l'on tire de cet album pétri de tendresse et d'affection.

Petit album d’une douceur infinie, Cassandre propose au lecteur une promenade le long d’une plage bercée par le vent à la découverte d’une petite fille : au travers de la poupée préférée et des émotions que celle-ci suscite, l’auteur explore avec candeur les diverses facettes de l’amitié dont tout enfant fait l’expérience. En miroir de la poésie de l’écrit, le travail illustratif semble refléter l’âme contemplative de Marie-Paule.
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Cassandre est la meilleure amie de Marie-Paule. Elle est très jolie, la plus gâtée par le Père Noël. Mais elle n'est jamais satisfaite.

Sur les bords de mer, Marie-Paule monologue. Elle parle de son prénom, de l'affection familiale, de la transmission et aussi de ces cadeaux chargés de sens.

L'enfant est seule, avec son poupon Martin, quelques fois le chien. Elle réfléchit. A Cassandre bien-sûr, elle (nous) parle de leur échange de poupées pour un week-end: une "pipi-caca" qui ne sait dire que "papa", "maman", faire pipi et possède toute une panoplie d'habits, contre Martin, aux habits faits maison mais aussi aux conversations infinies.

Marie-Paule parle de son amitié, de celle portée à Martin, de celle portée à Cassandre.



Toutes les pages entourent le sentiment d'amitié. Une amitié enfantine mais vraie. De celle qui remplit d'affection, de tendresse, de dévouement, de don.

Il est aussi question du sens des cadeaux, des échanges, des transmissions familiales.



Sur fond de marrée basse, l'enfant déambule dans l'estuaire et les illustrations de Claude K.DUBOIS nous montre sa solitude, mais pas la morose, l'assumée peut-être même souhaitée... la nature, les laisses de mer, les châteaux de sable ont autant de valeur que sa chambre.

Les crayonnés aquarellés sont ici plus flous, moins précis que dans certains livres de cette illustratrice. Les émotions ne viennent pas forcément des expressions du visage mais plus du vent, de la distance, de l'humidité avec du grain, comme du sable.
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Marie-Paule est une petite fille issue d’un milieu modeste. À Noël, elle a reçu un poupon, Martin, qu’elle affectionne particulièrement. Marie-Paule nous partage ici ses réflexions d’enfant autour de sa meilleure amie Cassandre. Cassandre ne manque de rien, c’est elle qui reçoit le plus de cadeaux à Noël mais elle ne semble jamais s’en satisfaire alors que Marie-Paule est très heureuse avec Martin. Un jour, elles échangent leur poupée le temps d’un WE. Le lundi, Cassandre voudrait échanger la poupée de Marie-Paule contre son ours et ses rollers dans un premier temps. Puis vient l’escalade et les « surenchères ». Cassandre donnerait tout pour avoir Martin le poupon mais Marie-Paule acceptera-t-elle de s’en séparer ?



C’est un album d’une infinie douceur qui donne la part belle aux magnifiques illustrations à l’aquarelle et pleines de tendresse de Claude K. Dubois. Une véritable ode à l’amitié et à la générosité ❤️🥰. Marie-Paule est adorable et terriblement attachante. Je souris de ses petites réflexions à hauteur d’enfant et je m’émeus de son cheminement sur l’échange proposé, la valeur des jouets, son amour pour son poupon et son amitié pour Cassandre.



Que d’émotions ! Un grand merci aux éditions D'eux pour cette belle réédition d’un ouvrage initialement paru chez L’école des loisirs.


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Réédition d'un livre originellement publié à L’École des Loisirs, cet album est un bijou de douceur !



Les illustrations de Claude K. Dubois déjà. Des couleurs pastel, crayons et aquarelles, des tons de sables, de mer et de ciel délavé.



L’histoire de Rascal enfin. Celle d’une Amitié. L’amitié que porte Marie-Paule à sa meilleure amie, Cassandre. Une amitié si belle, un lien si fort qu’elle est prête à lui offrir ce qu’elle a de plus cher au monde. Cassandre a tout mais n’est véritablement satisfaite de rien. Marie-Paule a beaucoup moins et est très heureuse comme ça. Et en plus, elle connait le sens véritable du mot amitié.



Laissez-vous bercer par Cassandre, une histoire pleine de tendresse et d’humanité, une ode à l’amitié, la vraie.



Merci à ma très chère Nad pour ce coup de cœur, un cadeau inestimable...





« Parce qu’avoir un(e) ami(e) comme toi, c’est le plus beau cadeau ! »




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-"Lundi, quand je retournerai à l'école, je dirai à Cassandre. Cassandre, j'ai un cadeau pour toi. Cassandre, c'est ma meilleure amie."

Dans son lit, la petite Marie-Paule parle à son doudou, un poupon nommé Martin. "Cassandre, je te donne Martin, et tous ses habits."





Cassandre est une petite fille que le Père Noël a beaucoup gâté, elle a de jolis jouets et des robes merveilleuses. Mais, Cassandre n'est pas heureuse.

Un jour, elle propose un échange, Martin contre sa belle poupée, Michèle. Un échange pour quelques jours, au nom de leur amitié...

Abandonner Martin?





Martin est le confident de Marie-Paule, elle lui parle tout le temps, quand elle ne parle pas à son chien... Petite fille solitaire, elle n'a que Martin à qui se confier, car elle a un secret dans son coeur:

-"Mort, c'est quand on ne respire plus, m'a dit Papa.

J'ai essayé de ne plus respirer pour voir comment c'était...

J'ai été morte au moins vingt secondes.

C'est dur d'être mort tout le temps !"





Dans l'enfance, on transforme de petits objets de rien en trésors inestimables: une petite pierre, une feuille morte ou une fleur des champs… Il en est ainsi pour Martin, le doudou!

Des aquarelles pleines de douceur et de délicatesse sur les amitiés qui

nous aident à grandir, dès le plus jeune âge.

Premiers pas vers la générosité, la confiance en l’autre et le don de soi à travers ce qu’on pense avoir de plus cher...

( Mais, c'est dur dur à cet âge là :)





Avons nous encore nos ami.es d"enfance ou les avons nous oublié.es?

Devons-nous nous retourner sur les ombres de notre passé?

Et si "On s'était donné rendez-vous, même jour, même heure, sur les marches de la place des grands hommes?"

Jules et Valentin sont deux frères qui partagent la même chambre. Mais un jour, leurs parents annoncent que désormais, chacun aura sa chambre pour lui tout seul. Au début, cela semble être une bonne idée mais finalement, les deux frères s'ennuient l'un sans l'autre. Ils vont trouver un moyen de les réunir...

Un très beau petit livre, intelligent et magnifiquement illustré par Claude K.Dubois, pour les enfants qui sont "confrontés" à cette situation.

Depuis qu’il est né, Jules dort dans la même chambre que son grand frère Valentin mais ses parents ont décidé qu’il était assez grand pour avoir une chambre pour lui seul. Après l’excitation de la préparation, le choix et l’installation du mobilier, le moment est venu pour Jules de prendre place dans sa nouvelle chambre. Pour les deux frères c’est une nouvelle expérience pleine d’appréhensions et il faudra toute la sagesse et la bienveillance de l’aîné pour que chacun puisse trouver le sommeil.



Il existe plusieurs séries de livres qui mettent en avant les petits tracas qui perturbent la vie de nos enfants mais je dois dire que j’ai été séduite par celle-ci, qui m’était inconnue jusqu’ici. Trouvé par hasard au rayon « première lecture » de notre médiathèque, ce titre m’a touché par l’intensité du lien qui unit les deux frères, lien figuré par un fil de laine, mais aussi par le texte juste et simple, et pourtant si émouvant d’Eric Englebert renforcé par la douceur et la sensibilité dégagées par les illustrations de Claude K. Dubois, une des illustratrices jeunesses que je préfère.



Je recommande chaudement!
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Cette petite série d'albums mettant en scène Lola, sa famille et ses amis est vraiment craquante ! Mais comme Lola a un caractère fort, on ne tombe pas dans la mièvrerie et les histoires sont à la fois légères et intelligentes.

Ici Lola voudrait grandir plus vite pour gagner son pari avec Franckie, alors elle essaye toutes sortes de méthodes : sauter, s'étirer, faire du sport... Mais au final, est-ce que le plus important ne serait pas de grandir dans sa tête ?

J'aime beaucoup la façon dont sont amenées les questions existentielles de ces albums : on voit Lola qui est confrontée à un problème et qui cherche des solutions. On la voit cheminer et évoluer jusqu'à en ressortir grandie (c'est le cas de le dire), et ce par ses propres moyens. Les parents sont là, présents et bienveillants, mais ils n'imposent pas leur point-de-vue, ce que je trouve fort appréciable.

Un album pertinent et efficace aux très jolis dessins dans les tons pastels.

Pour les 3-5 ans.

pas facile de grandir en un week-end pour gagner un pari ! alors Lola met tout en oeuvre pour y arriver...

qu'est ce que ça veut dire "être grand" ? là est toute la question de cette petite histoire bien sympa !

un bon moment de lecture avec les enfants.