Entre la Chine qui tentait de s’imposer en tant que leader mondial et l’Amérique qui ne souhaitait plus assumer son rôle de superpuissance, il y avait un vide, qu’un homme comme l’amiral Kénine pouvait exploiter. Le dragon et l’aigle combattraient toujours sous une forme ou une autre, mais l’ours finirait toujours par remporter la victoire.