Au cimetière des amours, oui moi j’entends des voix
Mais le ciel semble sourd à ceux qui vivent là
Les siècles de poèmes puis les siècles de tendres
Qui sous les chrysanthèmes n’ont plus cous à se pendre
Que le coût de la vie, c’est mourir et bien pire
C’est perdre son amour mais garder son empire
Pour finir à genou, empereur de personne
Que de ce temps qui passe, puis qui vous abandonne
Au cimetière des amours