aux génocides qu'on nous vend
à nos consciences les tremblements
tu sais tout ça ne m'émeut guère
et puis le destin de la terre
elle peut mourir moi je m'en fous
puisqu'elle me fait vivre sans toi
puisque tous les levers du jours
sans toi ne se relèvent pas
les meurtrières, les meurtrières