Une masse d’air chaud encombra l’entrejambe de Lola. Elle voulait de la bidoche tendre, et puis aussi du féroce, du sauvage, elle devenait affamée. Elle avait repéré un des costauds qui baisait Ellen. Puis elle en avait repéré un autre plus âgé qui sodomisait son voisin. Survolée par la caméra, la mêlée de corps s’activait délicatement, sûrement. L’amour, se dit Lola, m’appelle, me fait des avances ; je dois être faite pour ça ! Elle se persuada de ce principe : une vie sans chair nuit.