Ah ! cré chien ! Les arbres m'émouvaient, tout chargé de vent, ils tenaient le coup bravement sans se plaindre, je voulais leurs donner la parole, il me semblait que c'était la paix que je cherchais qu'il y avait dans leur silence majestueux, cette paix secrète, je sortais tranquillement mes pinceaux, le soleil courait sur son char de feu dans le ciel et il me fallait ne pas trop tarder.