Dans une interviewe l’écrivain affirme que son héros, c’est lui :
« Le réveil, tous les matins, c’est pour moi un peu comme Hiroshima car passer du sommeil à la veille est une épreuve qui me dit que je suis plus vieux d’une journée, qu’il va falloir affronter la réalité, savoir que cette journée me rapproche de ma fin. Mon roman est une confession. »