J’envie leur sort aux hommes qui vivent sous la tente : non de pouvoir déplacer leur maison à leur guise (car en ce sens ce n’est qu’à peine une maison), mais de pouvoir la remonter autrement chaque fois, selon la forme du lieu, l’aspect du ciel, le besoin qu’ils en ont, leur fantaisie… - et en ce sens, leur tente est toutes leurs maisons.