La solitude était un bien si précieux, à Rome, que les plus grandes richesses ne suffisaient pas à la garantir. Au fond, la ville n'était qu'une immense place, où l'on vivait en public, entouré d'esclaves, de clients, d'amis. Et pourtant, il y avait des choses que ses amis eux-mêmes ne pouvaient partager.