- Et que saviez-vous encore ?
- Que vous aussi, mon insouciante, mon indifférente Dona, si dure, si désabusée, qui vous amusiez à jouer au voyou avec votre mari et ses amis, dans les rues de Londres, vous aussi vous saviez que, quelque part dans le vaste monde, existait un être qui vous appartenait, dont l'âme et le corps ne formaient qu'un avec les vôtres, que sans lui, vous étiez aussi perdue qu'un fétu de paille emporté par le vent.