C'est comme pour le climat... Il y a eu des incendies, des tempêtes.
Des émeutes de la faim.
L'eau qui venait à manquer.
C'était pas un jeu, tout s'accélérait à une cadence infernale et tout le monde s'en fichait, se mettait des œillères.
[...] Des jeunes qui ne veulent plus de cette fuite en avant.
On a tout essayé.
Parler.
Couler nos mains dans le béton.
Asperger des œuvres d'art avec du ketchup.
S'enchaîner devant des multinationales.
Tout et n’importe quoi.
Aucun résultat.
Personne n'écoute.
Vous continuez.