Rompu par une longue habitude à jauger hommes et situations, il s'interrogea immédiatement sur ce que pouvaient valoir son capitaine et son équipage : plus que bien d'autres, il savait pertinemment que posséder le plus beau, le mieux armé des bâtiments de guerre ne représente qu'une partie de l'équation. La victoire repose davantage sur la compétence et la volonté d'un officier, lequel doit pouvoir compter sur un équipage soudé et bien entraîné.