Leur monde écoeurant avait été balayé par le pouvoir de la nature, comme du sang qui entraîne avec lui le pus d'un abcès.
Et pourtant, ce pouvoir n'avait pas affecté le cœur de l'infection : l'homme lui-même. Le carnivore ultime, le tueur absolu. Aujourd'hui encore, les hommes se faisaient la guerre, se massacraient et pillaient...